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Par Sandra Fierro dans Accueil le 18 Mai 2014 à 00:552 A l’époque Aerolíneas Argentinas ne mégotait pas sur les places invendues. Je m’installai de tout mon long sur 4 places vides, quittai mes bottes camarguaises que j’emportais aux pieds, faute de place dans mon maigre bagage en soute et dans la malle qui devait suivre, m’avait-on...